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Encore un succès sans égal pour les Journées Culturelles de Bruxelles

La troisième édition des « Journées Culturelles de Bruxelles » a connu cette année encore un véritable succès. Ce festival, qui vise une rencontre accrue entre citoyens de différents horizons, a accueilli plus de 20 000 festivaliers à l’esplanade de l’Ecole des Etoiles (Haren) durant 3 jours (du 30 mai au 1er juin 2014) avec un large éventail d’activités variées. Au programme, la découverte du patrimoine culturel et artistique de l’Anatolie, mais aussi la culture belge : outre les stands d’art de la calligraphie, de peinture marbrée et de musique traditionnelle turque, les visiteurs ont également pu visiter les ateliers de dentelle et céramique belge. Sans oublier les stands tenus par les bénévoles de Beltud qui avaient préparé de délicieux plats d’Anatolie, ainsi que la tente de l’amitié où les festivaliers ont pu se rencontrer et échanger dans une atmosphère conviviale, en compagnie du classique thé ou café turc. Les enfants étaient aussi à l’honneur, avec le spectacle traditionnel de Hacivat & Karagöz présenté par Ömer Akbaba, ainsi que le show de marionnette de Hakan Arisoy. Cihan Cöl était également de la partie avec sa talentueuse équipe folklorique, composée des étudiants de l’Académie Lucerna d’Anvers. La popstar Murat Dalkiliç, le poète Bedirhan Gökçe, l’humoriste Atalay Demirci ainsi que bien d’autres personnalités célèbres étaient également présents, attirant de nombreux visiteurs pour des moments inoubliables. La salle de théâtre de l’Ecole des Etoiles était bondée lors du one-man show d’Atalay Demirci, comédien très apprécié du public turc. Demirci a abordé avec humour et subtilité certains traits propres à la communauté turque dans son stand-up intitulé « Kel Alaka » devant un public hilare. La première journée s’est terminée avec le concert de Bedirhan Gökçe qui a partagé ses poèmes, causant des moments d’émotions dans le public. Après les animations pour les enfants, la deuxième journée a continué avec le séminaire du journaliste et écrivain Mustafa Akyol, qui a parlé de l’Islam et la démocratie en Turquie, analysant les points forts et faibles de la démocratie turque depuis la fondation de la République. La journée a continué avec la danse folklorique du groupe Phoenix, suivie du show de BX Stand-up, groupe multiculturel à l’image de Bruxelles, composé de jeunes comédiens à l’avenir prometteur. Enfin, la journée s’est terminée avec le concert très attendu de la popstar Murat Dalkiliç. Le chanteur a commencé le concert en remerciant les organisateurs de remettre une partie des revenus aux victimes de Soma, et l’autre partie à l’Ecole des Etoiles. Les fans ont passé un moment inoubliable en compagnie de la star enthousiaste sur l’esplanade bondée de l’Ecole des Etoiles. Enfin, la troisième journée du festival a commencé par une conférence de l’historien Talha Ugurluel, qui a parlé de l’Empire ottoman, et les facettes cachées de Soliman le Magnifique. Après la projection du film « Sürgün Inek », les festivaliers ont pu assister au concert endiablé du groupe de rock Seksendört. Avec toutes ces activités et bien d’autres encore, « Les Journées Culturelles de Bruxelles » a été un véritable succès cette année encore.

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Enthousiasme absolu aux Journées Culturelles de Bruxelles – édition 2013

Pour la deuxième année consécutive, Bruxelles a été secouée durant quatre jours par Les Journées Culturelles de Bruxelles. Ambiance de fête et bonne humeur étaient au rendez-vous. Ce festival haut en couleurs a été organisée par l’Association de l’amitié belgo-turque (Beltud), en collaboration avec l’Ecole des Etoiles.

Jeudi 9 mai

Le festival a débuté par un spectacle de marionnettes très populaire en Turquie « Hacivat et Karagoz ». Des centaines d’enfants et de parents ont suivi ce spectacle avec enthousiasme.
Autre programme de la journée, un séminaire intitulé « L’identité de la civilisation et de la culture » par le journaliste et écrivain Hilmi Yavuz . Yavuz s’est penché sur le problème de l’identité et de la recherche d’une réponse à la question «Faut-il prendre en compte le contexte quand nous examinons l’identité? » Le séminaire s’est terminé par une séance de dédicaces.
Les groupes de danses folkloriques  » Lucerna Dance Academy » et Djoyeûs Potcheûs (Wallonie) ont animé l’après-midi par leurs magnifiques spectacles .Par ailleurs, le célèbre acteur de théâtre « Kenan Isik » a été le deuxième conférencier de la journée et a organisé un séminaire sur l’impact de l’impérialisme sur la culture. A l’issue de ce séminaire interactif Isik a récité un de ses célèbres poèmes.En soirée, le groupe belge Polk est venu rehausser l’ambiance du festival. Son fondateur Yves Barbieux » avait participé au concours Eurovision 2003 en tant que membre d’Urban Trad avec le morceau Sanomi. Le groupe a interprèté des chansons connues mondialement dans leur propre style musical. Ils ont également presté une chanson du célèbre chanteur turc « Tarkan ».En plus des nombreuses activités culturelles, les invités ont pu déguster le meilleur de la cuisine turque. La tente de l’amitié Beltud a accueilli ses visiteurs en leur offrant un délicieux thé turc. Beltud n’a pas oublié les plus petits : promenades à poney, carrousel, clowns, danses et animations…

Vendredi 10 mai

Tout comme au premier jour, la deuxième journée du festival “Les Journées Culturelles de Bruxelles” ( organisé par l’association Beltud, membre de Fedactio) s’est déroulée dans une ambiance festive. Le théâtre d’ombres turc Hacivat-Karagoz a été joué en turc. Tout le monde s’est laissé captivé par le spectacle aux discussions interactives.Suite au spectacle du théâtre d’ombres, différents groupes de danses folkloriques ont animé la journée dans la grande cour en plein air. Les spectateurs sont restés sous le charme de ces belles danses.Le festival a également accueuilli le groupe BX stand-up dans la belle salle de théâtre de l’Ecole des Etoiles. Les spectateurs se sont littéralement rués dans la salle afin de regarder ce spectacle donné en français. Après avoir passé une heure en fou rire, tous ont quitté la salle heureux et le sourire aux lèvres.Après les spectacles, ils ont eu la possibilité de voir de près les artisans à l’oeuvre. Parmi les nombreux stands artisanaux, on retrouvait le tissage du kilim, la dentelle, le céramique, la calligraphie, la fabrication du kanoun et l’art du verre. Sadik Koksal, échevin de la culture à Schaerbeek, faisait partie des nombreux invités. Il a prit la peine de discuter un par un avec tous les artisans présents et a félicité tous les organisateurs de l’événement. Une autre personnalité politique présente était Belma Tek.Par ailleurs, sous la tente de l’amitié Beltud, les visiteurs ont pu goûter des spécialités de la cuisine anatolienne tout en écoutant de la musique live. Certains ont préféré se désaltérer avec des assiettes de fruits tandis que d’autres ont bu leur thé ou café en compagnie du célèbre “baklava”.A 20 heures, des fans de Bruxelles mais aussi d’autres endroits tels du Limbourg ou d’Anvers sont venus regarder le concert en plein air de Muazzez Ersoy. Après sa première chanson, la chanteuse s’est exprimé sur l’importance de l’éducation et a ensuite enchaîné avec ses autres morceaux. La reine de la Nostalgie a chanté plusieurs chansons sur la demande du public et leurs a lu les notes qu’elle a reçues. Le concert a suscité un très grand intérêt auprès de beaucoup: des petits comme des grands.

Samedi 11 mai

Le troisième jour du festival a débuté en force malgré le froid. Le groupe Mamemo, qui a commencé ses arrangements à 8 heures, a été le premier spectacle de la journée. Des enfants accompagnés de leurs parents, ont pu assister à ce festin visuel. Le spectacle comportait de la musique, de la danse, des mini sketches et trois écrans circulaires sur lesquels étaient projetés des dessins animés. Petits et grands sont tombés sous le charme des trois musiciens talentueux.Dans la cour, des danses colorées et rythmées de la région de la Mer Noire, la danse folklorique flamande ainsi que la danse à l’épée et au couteau Caucasienne tant attendue ont fait frémir les curieux.L’intérêt a été particulièrement grande pour le séminaire de la professeure Nazan Bekiroglu intitulé “La Pensée et l’Art à la croisée de l’ Orient et de l’Occident”. L’académicienne a commencé ses propos sur la conception de l’Art et de la Pensée en Orient. Elle a comparé la conception de l’Art en Occident avec celle du monde musulman. Elle a précisé que pendant la Renaissance, dans le monde occidental, les tableaux et statues conformes à la réalité, étaient les plus prisés. Tandis que dans le monde musulman, les artistes étaient farouchement opposés à cette vision. C’est pour cette raison que sur les représentations de miniatures, de calligraphies ou autres, on retrouve des symboles se rapportant à l’éphémérité de ce monde. Une session de questions et réponses a suivi le programme, suivie d’une séance de dédicaces où les lecteurs ont pu faire signer leurs livres.Au soir, malgré le froid les fans du chanteur Kirac ont rempli la grande cour de l’Ecole des Etoiles. Kirac a interprété les chansons préférées des jeunes. Après le concert, accompagnés des bénévoles du festival, les visiteurs ont pu passé de bons moments sous la tente de l’amitié Beltud en compagnie de Kirac qu’ils ont trouvé très sympathique.

Dimanche 12 mai

Le dernier jour des Journées Culturelles de Bruxelles a débuté avec le spectacle Hacivat-Karagoz. Les artistes sont revenus chaque jour avec un nouveau thème. Durant le spectacle, les enfants ont pu enrichir leur vocabulaire tout en s’amusant comme des fous.Dans la grande cour, différents groupes de danses folkloriques ont pris leur place : D’abord le groupe des « Efes » de la région Egéenne, en provenance d’Allemagne, a fait vivre des moments fabuleux aux spectateurs. Puis l’autre groupe représentant de la région de la Mer Noire, a malgré le froid, fait frémir tout le public. Du côté des stands culinaires, de nombreux mets savoureux et variés ont été proposés pour le plus grand bonheur des gourmands. La tente de l’am itié Beltud a continué à accueillir des personnes de cultures différentes sous le même toit.Vers 19 heures, le chanteur Kutsi est monté sur scène. Pendant une heure, il a fait vivre au public un moment riche en émotions. En outre, comme pour les trois autres concerts, les spectateurs ont pu regarder la performance de l’artiste via le grand écran posé près de la scène. A la fin du concert, une de ses fans lui a remit un bouquet de fleurs au nom de tous les bruxellois. Ravi, le chanteur a dit être reçu par un public très chaleureux.Les bénévoles des associations Fedactio et Beltud, ont du travailler très tard dans la nuit pour que l’école puisse accueillir à nouveau ses élèves le lendemain. « Les Journées Culturelles de Bruxelles », pour lesquelles nombreux bénévoles ont travaillé dur nuit et jour, se sont terminées au terme des quatre jours en laissant derrière elles de chouettes souvenirs et de nouvelles amitiés.

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Un enthousiasme indescriptible a marqué les Journées Culturelles de Bruxelles – édition 2012

Cet événement important, qui s’est organisé grâce au labeur de centaines de volontaires, est une des rares organisations qui regroupent des manifestations culturelles et artistiques très diversifiées.

L’événement qui a pris fin ce dimanche 20 mai proposait aux Bruxellois de rencontrer le patrimoine culturel et artistique de l’Anatolie, avec des activités ayant trait à la littérature, aux arts traditionnels comme le Hat (Calligraphie), l’Ebru (Art du Papier Marbré), la Miniature ou le Tezhip (Art de l’Enluminure), à la musique, au théâtre, à la cuisine, au théâtre d’ombres (Karagöz-Hacivat) et aux danses folkloriques et traditionnelles. Des ouvrages littéraires, des albums de musique, des œuvres artisanales, des tableaux et des bibelots ont été soumis en vente dans la galerie d’art et dans le coin littéraire de l’événement. Les enfants étaient également servis avec des animations, le mini-zoo de l’école, des châteaux gonflables et des ateliers de marionnettes. Les plus grands ont pu quant à eux participer à des ateliers d’Ebru et de Calligraphie.

C’est l’académie de danse du Lucernacollege qui a lancé le début des activités ce jeudi 17 mai avec une chorégraphie de ‘Zeybek’, danse propre à la région de la mer Egée. Le ‘Horon’, danse typique de la région de la mer noire, et les danses folkloriques azerbaïdjanaises ont suivi. Emre et Lütfü Gültekin ont offert un festin de musique populaire traditionnelle dans la toute nouvelle salle de spectacles de l’Ecole des Etoiles, alors que la scène en plein air était animée par les derviches tourneurs venus tout droits de la municipalité d’Osmangazi (Bursa). La chanteuse pop Reyhan Karaca a clôturé d’une manière grandiose la première journée avec un concert assisté par des milliers de visiteurs. Des centaines de mets traditionnels préparés par des mains bénévoles et ingénieuses ont fait découvrir aux cinq mille visiteurs de la première journée les délices anatoliens.

Les Journées Culturelles de Bruxelles se sont également distinguées par une participation très diversifiée : académiciens, entrepreneurs, ouvriers, politiciens, acteurs de la société civile, amateurs d’arts et de culture… Femmes, hommes, petits et grands… Belges, Turcs, Kurdes, Marocains, Italiens, Bulgares, Bosniaques, Afghans… Chrétiens, musulmans chiites ou sunnites, athées, agnostiques… Tous se sont côtoyés lors de ce festival et ont formé une très belle mosaïque bruxelloise. Des milliers de personnes qui partagent la même ville depuis plus de 50 ans ont profité de cette occasion pour discuter de thèmes très divers allant de l’éducation à l’art, de la culture aux sports, de la musique à la littérature.

Le président de notre Conseil Supérieur Consultatif Ismail Cingöz se trouve parmi ceux qui ont témoigné de cet enthousiasme : « Que de milliers de personnes partageant un quartier, une ville ou un pays puissent s’étreindre est un sentiment très fort. La culture et les arts sont des outils très importants qui représentent l’évolution des individus et des collectivités. Les Journées Culturelles de Bruxelles et la salle de spectacle que nous avons inaugurée ici à cette occasion sont des signes importants montrant que la culture et les arts gagnent petit à petit l’estime qu’ils méritent. Nous sommes tous très réjouis de pouvoir offrir une telle salle à l’occasion d’un tel événement aux Bruxellois. Pouvoir rencontrer des personnes de cultures différentes et pouvoir discuter de sujets divers reflétant la cohésion sociale est un sentiment très précieux. Nous ne pourrions applaudir et remercier comme il se doit les centaines de bénévoles qui ont contribué à cette organisation importante qui reflète – grâce au langage de la culture des arts- le niveau qu’a atteint cette communauté ».

L’écrivain Iskender Pala et le groupe de rock Ayna au programme de la seconde journée

Le professeur Iskender Pala, auteur d’une quarantaine d’œuvres littéraires dont plusieurs best-sellers, et le groupe de rock très populaire Ayna furent les invités de la seconde journée. Monsieur Pala a donné une conférence dans la salle de spectacles de l’Ecole lors de laquelle il a mis en exergue l’importance de la parole. L’écrivain a agrémenté ses propos avec des poèmes écrits par les empereurs ottomans, précisant que 26 de ces 33 empereurs étaient des poètes renommés de leurs époques : « A l’époque ottomane, les mots étaient dégainés avant les épées. On vainquait le souverain ennemi d’abord avec la poésie ». Le professeur Pala a également souligné que le Sultan Mehémet parlait couramment six langues à 21 ans lorsqu’il a conquis Constantinople et a déploré que les jeunes d’aujourd’hui ne fassent usage que de 350 mots : « Au 16ème siècle, le citoyen lambda parlait avec 3500 mots, alors que le taux d’alphabétisation était faible. Je conseille aux jeunes de lire énormément pour combler cette lacune ». La conférence s’est terminée par une séance de dédicaces.

Pendant ce temps, le climat s’est réchauffé dans le jardin de l’école avec des danses folkloriques et de la musique soufie. L’enthousiasme a atteint son point culminant à 19 heures lorsque Erhan Güleryüz et son groupe Ayna sont montés sur scène. Une brillante prestation de plus de deux heures a fait vibrer l’esplanade de l’école.

Jour 3, chacun en a pour son goût… Des marionnettes pour les enfants, la pop star Murat Başaran pour les jeunes et du théâtre pour les plus grands!

La troisième journée du festival en a offert pour tous les goûts. Le théâtre d’ombres ‘Karagöz Hacivat’ a été mis en scène à deux reprises. Les 360 places assises n’ont pas suffi aux petits amateurs qui ont rempli les couloirs et la parterre de la salle de spectacles pour l’occasion. Un atelier de marionnettes a ensuite été monté dans la salle de sports de l’école où les enfants ont pu confectionner leurs propres ‘Karagöz’ ou ‘Hacivat’.

Leurs parents on pu pendant ce temps assister à la pièce de théâtre ‘Isik Süvarileri’ (Les Cavaliers de la Lumière), mise en scène par les acteurs de la Maison d’Art d’Ankara. La pièce, qui conte l’histoire d’un enseignant qui exerce son métier loin de sa patrie, a mis en émoi le public de la salle. Les amateurs de soufisme se sont quant à eux rués sur le jardin où les derviches tourneurs réalisaient une nouvelle prestation. A la fin de la pièce de théâtre, les œuvres de calligraphie et d’Ebru de Mehmet Refii Kileci ont été légués au plus offrant au profit de l’Ecole des Etoiles.

La troisième journée s’est terminée en toute beauté, avec un concert de la pop star Murat Basaran, qui a littéralement provoqué une vague d’énergie auprès des jeunes avec ses chansons très rythmées. Le chanteur a au préalable témoigné de sa reconnaissance à Beltud et à l’Ecole des Etoiles pour l’organisation et pour l’avoir permis de rencontrer ce public bruxellois.

Rafet El Roman et Harun Tokak clôturent l’événement

Les émotions ont atteint leur point culminant le dernier jour des Journées Culturelles de Bruxelles, avec le concert de la star émérite de la chanson romantique Rafet El Roman et la conférence de l’écrivain Harun Tokak. La journée a commencé par les représentations de Karagöz-Hacivat et de la pièce de théâtre Işık Süvarileri. Les visiteurs ont petit à petit rempli le jardin de l’école et ont attendu avec impatience l’arrivée de Rafet El Roman dont le concert était prévu pour 16 heures. Le public a commencé à clamer les noms de « Rafet », « Beltud » et de « Fedactio » peu avant le concert et l’arrivée de l’artiste a déclenché une véritable ovation frénétique dans l’esplanade où se trouvait la scène. Le public s’est joint avec enthousiasme au chanteur qui a interprété ses hits et quelques morceaux rythmés de musique turque. Rafet El Roman en a profité pour rappeler que l’événement a été organisé au profit de l’Ecole des Etoiles et du prochain Collège des Etoiles, soulignant que lui aussisoutient ces écoles et qu’il est venu à Bruxelles pour contribuer à leur projet pédagogique.

La clôture des Journées Culturelles de Bruxelles s’est faite avec la conférence et la séance de dédicaces de l’écrivain Harun Tokak. L’événement qui a accueilli des milliers de visiteurs durant quatre jours a remporté un franc succès auprès des Bruxellois. De nombreuses personnes ont félicité l’initiative où les visiteurs ont pu se détendre en famille et qui a été marqué par les visages souriants du public.

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