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Une soirée conviviale autour du café turc chez Beltud

Un agréable moment de convivialité autour du café turc chez Beltud.

Près de 80 personnes étaient présentes au rendez-vous lors du « Turkish Coffee Night » le 23 octobre dernier. Les participants ont pu découvrir le café turc, sa place dans le patrimoine turc, sa préparation et ont également eu l’occasion de le déguster.
La soirée s’est prolongée au son de la musique classique turque de Tristan Driessens et Emre Gültekin.
Il existe un proverbe turc très connu : « une tasse de café ne s’oublie pas pendant 40 ans». Il est donc clair que tous les participants à la soirée se sont engagés à une très longue amitié avec Beltud !

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Beltud a offert le café turc dans l’espoir de marquer de longues amitiés

Plus de 80 personnes ont répondu présent pour assister à la ‘Turkish Coffee Night’ organisée par Beltud le vendredi 30 janvier 2015.

Il s’agissait de la première activité de cette nouvelle année avec le partage de la tradition autour du café turc qui prenait tout son sens car le café turc est le symbole même de l’amitié.

Après avoir exprimé ses meilleurs voeux, Seval Kayman, la présidente de Beltud a expliqué que par le biais de ces soirées culturelles thématiques, l’objectif était de créer des espaces de rencontres entre citoyens issus de divers groupes culturels et contribuer ainsi à la cohésion sociale.

Ensuite, Esra Iramil a fait un exposé sur l’historique du café, qui parvint à Istanbul au 16e siècle en provenance du Yémen.

En compagnie de Sahin Utku, elle a ensuite montré comment il fallait le préparer : le café turc doit être cuit à feu doux, très lentement. Le marc coule vers le fond, lui conférant un goût fort différent de son homologue européen et il peut se prendre sans sucre, peu sucré, mi sucré ou très sucré.

Bien plus qu’un simple breuvage, le café turc est une occasion de se retrouver et contrairement à son équivalent belge, il se prend en dehors du temps des repas. On le sert accompagné d’un verre d’eau fraîche, qui est destiné à nettoyer la bouche afin de mieux goûter le café.

Le moment de déguster le café est devenu au fil des temps une tradition ancrée dans le mode de vie des Turcs et un symbole d’hospitalité, d’amitié, de finesse et de divertissement.

C’est un rituel à lui tout seul. Il existe d’ailleurs un proverbe turc très connu : « une tasse de café ne s’oublie pas pendant 40 ans». Il est donc clair que tous les participants à la soirée se sont engagés à une très longue amitié avec Beltud !

La symbolique du café lors des mariages turcs a aussi été expliquée avec beaucoup d’humour : lorsque deux jeunes gens désirent se marier, le jeune homme doit se rendre chez les parents de sa bien-aimée afin de demander sa main. Pendant qu’ils discutent, la jeune fille ira préparer le café turc. C’est au goût de ce café que la famille du jeune homme évaluera la fille. Parfois, la jeune fille donnera un petit message au futur gendre avec son café : si le café du jeune homme est servi très sucré, cela signifie que la jeune fille est ravie de le voir.

Après toutes ces explications, chacun a pu goûter le café tout en savourant une vaste sélection de pâtisseries turques.

La soirée s’est prolongée dans la convivialité au son de la musique traditionnelle turque du groupe Doğanay Trio.

Si l’on devait résumer en une phrase la symbolique du café turc :

« Gönül ne kahve ister, ne kahvehane,

Gönül dost ister, kahve bahane. »

« Le cœur ne veut ni café, ni cafétéria,

Le cœur veut un ami, le café n’est qu’une excuse. »

 

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Topsfeer tijdens de cultuuravond met thema “Karadeniz”

Op 24 april 2015 liet Beltud tijdens de cultuuravond « Karadeniz », een cultureel-divers publiek kennismaken met de Zwarte Zeestreek, een weinig gekende streek in Turkije.

Ongeveer 80 deelnemers hebben de specialiteiten van de regio geproefd en genoten van de gezellige sfeer.

De avond is begonnen met een voorstelling van de streek. Het gaat om een toeristische plaats en in tegenstelling tot het zuiden en het westen van Turkije is het bergachtige streek die in combinatie met haar bossen en de zee prachtige landschappen oplevert.

De inwoners, gedeeltelijk bestaande uit Lazen, worden gekenmerkt door hun blauwe ogen, lichte huidskleur en neus in de vorm van ‘de bek van een adelaar’. Zij leven van de productie van hazelnoten, waarvan Turkije 70% van de wereldexport vertegenwoordigt en van visvangst, voornamelijk ansjovis is typisch voor deze streek.

Na de voorstelling heeft iedereen geproefd van een typische menu bestaand uit linzensoep, gegrilde ansjovis, gevulde koolbladeren, maïsbrood en gepekelde groenten. Als dessert werd er ‘laz böregi’ geserveerd, bladerdeeg met pudding ertussen.

En geen enkele maaltijd zou zijn naam waardig zijn als deze niet werd beëindigd met een glaasje zwarte thee.

Het diner werd gevolgd door een dansvoorstelling  van een folkloregroep, genaamd “Horon”. De groep bestond uit 5 dansers en één “Kemençe”-bespeler (een snaarinstrument). De avond is geëindigd is een gezellige en ritmische sfeer.

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La soirée culturelle bolivienne organisée par Golden Rose et Beltud a été un succès

Le 22 février 2014, Golden Rose a organisé en partenariat avec Beltud une soirée culturelle bolivienne. Une cinquantaine de participants ont goûté aux délicieux mets boliviens et ont profité de la belle musique de ce pays d’Amérique latine.

La soirée culturelle a été réalisée en partenariat avec Mery Angulo et Carola Ureña de la radio Palabra de mujer FM 87.7 ainsi que Carmen Rojas de la Ligue des Familles. La soirée a débuté avec une présentation de l’association Golden Rose par la vice-présidente Sükran Yigit. Après une introduction sur l’histoire de la Bolivie, Mery a projeté une vidéo sur le carnaval d’Oruro, considéré comme l’évènement folklorique le plus célèbre de l’Amérique latine, dû aux Diabladas masqués. Ensuite, des musiques typiques telles que Concor el Pasa, El Minero, Lloranda Se Fue et La Caraquena ont été jouées par Carola. Carmen a ensuite donné des informations sur les différents types de Quino, qui a été la source de nourriture la plus importante de la région depuis des millénaires. D’ailleurs, 2013 a été choisie l’année du Quinoa par les Nations Unies.

Mais la réelle festivité musicale a commencé avec la performance de Comunidad de Sikuris, un groupe de 7 musiciens. Ils ont joué de la musique des différentes provinces de Bolivie. Les intruments boliviens principaux sont la flûte de pan et les tambours. Ensuite, les participants ont pu goûter les spécialités culinaires boliviennes du buffet ouvert. Le dîner a été suivi d’une danse du groupe de 4 personnes du Centre Culturel Sartañani Bolivia Belgica. Ils ont représenté la danse des Caporals du nord ainsi que la danse Cueca tarijeaña du Sud, qui est dansée avec des mouchoirs.

La soirée s’est terminé avec une autre représentation de danse, accompagnée du délicieux thé bolivien ainsi que de cakes.

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Le goût et la convivialité étaient au rendez-vous pour le Turkish Tea Night

Le vendredi 17 Janvier, l’Association d’amitié belgo-turque (Beltud) a organisé une soirée de thé turc. 60 personnes en provenance de Bruxelles et ses environs se sont réunies pour explorer la culture liée au thé turc traditionnel et discuter dans une ambiance conviviale autour d’un verre de thé et de pâtisseries turques. Il y avait parmi les invités la Princesse Stéphanie Windisch-Graetz et le bourgmestre de Saint-Josse Emir Kir.

Rassembler les personnes de différentes origines culturelles afin de favoriser un échange riche en apprentissage est l’une des missions les plus importantes de Beltud. C’est dans le cadre de cette mission que cette rencontre interculturelle avec pour thème le thé turc a été organisée. En effet, une réunion spontanée entre Néerlandophones belges de Ninove et Francophones belges d’origine algérienne de Bruxelles ne se produit pas tous les jours.

L’accueil des invités s’est fait avec un service de lokoums (Turkish Delights) et de l’eau de Cologne. Tout en écoutant la musique instrumentale de Göksel Baktagir, les personnes présentes ont pu s’installer et faire connaissance. Ensuite, une présentation du thé a été visionnée, avec l’explication du phénomène social que représente le thé en Turquie, par l’auteur britannique Katharine Branning qui a écrit un livre sur le thé turc: “Oui, je voudrais volontiers encore un verre de thé”. Seyma Gelen, présentatrice de la soirée, a poursuivi en donnant des informations historiques et géographiques sur le thé. Gelen a ensuite fait une démonstration de la préparation du thé. Saviez-vous que le thé turc a un goût toujours différent selon la façon dont il est préparé? Fort ou dilué, sucré, citronné ou à la cannelle… Il y en a pour tous les goûts.

Après la démonstration, les participants ont pu goûter le thé, accompagné de pâtisseries. A la fin de la soirée, un tirage au sort a été fait pour offrir une théière et un service de thé. Tous les invités ont reçu un petit sachet de thé turc comme souvenir. Ils étaient ravis de l’accueil et du programme: Anne Leroy a remercié Beltud pour l’accueil chaleureux et la présentation intéressante. Khadija Benkara a déclaré: « Ce fut une belle soirée, maintenant le thé turc n’a plus de secrets pour moi. Merci pour l’accueil chaleureux et l’excellente ambiance. Je me suis sentie comme chez moi !  »

Cet événement s’inscrit dans le cadre du projet ’50 ans en Belgique’, une série d’activités organisées par Fedactio à l’occasion du 50ème anniversaire de l’immigration turque en Belgique. Plus d’informations sur les événements sur www.50ansenbelgique.be

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Bruxelles, un voyage à travers le monde

Lors de notre premier brunch de l’amitié organisé le 13 octobre en partenariat avec Golden Rose, nous avons eu le plaisir d’écouter Hans Vandecandelaere qui est venu nous présenter son livre « Bruxelles: un voyage à travers le monde ».

Hans Vandecandelaere nous décrit les soixante années de trajectoire migratoire de quarante nationalités différentes. Il y a environ 170 nationalités présentes sur le territoire bruxellois mais leur trajectoire et leur répartition dépendent de plusieurs facteurs.

En effet, le moment où ces personnes sont arrivées à Bruxelles ainsi que les raisons qui les ont amenées chez nous vont déterminer leurs conditions de vie et leur avenir.

Pour comprendre ces soixante années de migrations, voici un petit bout d’histoire:

En 1946, un accord est signé avec l’Italie. Des milliers d’Italiens débarquent alors chaque semaine en Belgique après trois jours de trajet en train. En 1956, la catastrophe de Marcinelle, qui fit 260 morts, dont la moitié d’Italiens, va tout bouleverser. La Belgique refuse de remédier aux problèmes tels que les conditions de travail, de vie. Elle préfère alors signer des accords avec d’autres pays dont la Grèce en 56, le Maroc et la Turquie en 64, etc.

A l’époque, on voit apparaître le phénomène de la migration touristique. Les ouvriers, sans papiers, arrivent chez nous et seront régularisés par les employeurs. Le paysage industriel de Bruxelles représente alors 12% de l’industrie nationale jusqu’en 75.

La ville s’agrandit, les plus favorisés quittent leur lieu de résidence pour s’établir dans des zones plus riches. Les expatriés, migrants hautement qualifiés, désertent le centre pour s’installer au sud de Bruxelles. Les immeubles bruxellois se vident, le prix des loyers chute, ce qui attire plus de migrants défavorisés. C’est un cercle vicieux. Apparaît sur la carte « le croissant pauvre » de Bruxelles. Zone s’étendant de l’ouest au nord de la ville.

En moins de 20 ans, le taux de migrants quadrupla, ce qui fut un défi pour la ville. Les années 80 marquent la naissance des premiers discours politiques racistes, même chez les socialistes, dont le bourgmestre schaerbeekois Nols, qui ira jusqu’à porter une djellaba et se rendre en chameau à la commune! Les seuls étrangers bien accueillis et même rappelés furent les Congolais, rappelés pour étudier. Ensuite, l’immigration se diversifia avec par exemple les premiers réfugiés politiques venus d’ex pays communistes, ou encore, les premiers restaurants chinois.

En 1989 déjà, les premiers discours sur le voile apparaissent. Selon l’auteur, l’islam est déjà stigmatisée.

Aujourd’hui, il reste quatre portes légales pour les migrants. La plus importante reste celle des études. Viennent ensuite le regroupement familial, les migrations professionnelles légales dont plus de 90% des personnes concernées sont hautement qualifiées, et enfin, l’asile. Cependant, particulièrement depuis les années 90, la migration clandestine est très importante. On compte environ 100 000 clandestins à Bruxelles. Selon l’auteur, les industries ont besoin de travail au noir pour survivre, donc de clandestins.

On peut observer un effet positif pour les populations naturalisées; de plus en plus sont des élus politiques. Les expatriés ne s’impliquent par contre pas du tout politiquement.

Parmi les étrangers présents sur le sol bruxellois, les plus nombreux sont les Français. Quant aux populations naturalisées, les plus nombreux sont d’abord les Marocains, viennent ensuite les Français, les Italiens, les Turcs et les Espagnols.

Des sous-univers, des sous-cultures se forment également. Cela dépendra de l’origine, du lieu de résidence, de la religion.

Un certain transnationalisme politique est présent également. Il n’est pas rare de voir des manifestants Syriens ou Congolais.

Mais le paysage très diversifié de Bruxelles donne naissance à de formidables projets et brassages ethniques, dont la Zinneke Parade, citée par l’auteur; résultat artistique de soixante années d’immigration.

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Brunch de l’amitié et workshop sur le ‘Ud

Beltud a organisé un brunch interculturel qui s’est déroulé dans une ambiance conviviale et chaleureuse le samedi 12 janvier dernier dans les locaux de Golden Rose, l’une des associations membre de Fedactio.

Ce fut une journée des plus agréables réunissant des dizaines de personnes de cultures différentes autour d’un riche buffet composé de délicieuses spécialités turques.

Le brunch de l’amitié fut l’occasion pour les membres de Beltud d’échanger les voeux de la nouvelle année, de rencontrer de nouvelles personnes, et obtenir de l’information au sujet des activités de l’association.

Après le brunch a eu lieu un workshop de musique ottomane et une présention du ‘ûd classique turc par le oudiste Tristan Driessens suivi d’un petit concert en solo.

Le workshop a permis aux participants d’avoir un apperçu du vocabulaire (makam, usul…), du répertoire, des genres musicaux (pesrev, samaî, longa…) et des techniques de jeu propres à l’esthétique du ‘ud turc.

A cette occasion, beltud a eu l’honneur d’accueillir la princesse Stéphanie de Windisch-Graetz qui a partagé un brunch avec les membres de Beltud. La princesse a écouté avec intérêt la présentation du musicologue Tristan Driessens.

Du café turc a été servi aux participants lors du workshop.

Servir du café turc joue un rôle important dans la consolidation d’une amitié. La préparation et le soin pris par un hôte dans le service du café turc à ses invités sont un signe d’hospitalité car comme le dit le proverbe  « une tasse de café partagée c’est une amitié qui vous engage pendant 40 ans ».

Pour les intéressés, des cours de ‘ud classique seront donnés par le musicologue Tristan Driessens tous les mercredis soirs et dimanches matins chez Beltud. Le premier cours se déroulera le dimanche 20 janvier 2013.

Pour s’inscrire aux cours de ‘ud et /ou aux  brunches de l’amitié qui se dérouleront une fois par mois, il suffit d’envoyer un e-mail à info@beltud.be

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Cercles de paroles interculturels

Nous sommes différents et nos différences, nous pouvons les vivre comme des richesses. Pour se connaître, il faut se rencontrer! Pourtant, la société dans laquelle nous vivons ne favorise pas assez ce genre de rencontres.

Voilà pourquoi, depuis plusieurs semaines déjà, Beltud organise de façon régulière (un vendredi sur deux) des « cercles de paroles interculturels » autour des contes du monde.

Le cercle de parole est une technique de discussion qui se déroule en présence d’un animateur et où les participants sont assis en cercle afin de permettre l’expression de la parole d’une façon plus égalitaire et favoriser ainsi l’écoute et la réflexion.

Le principe des cercles de parole interculturels est de réunir des personnes issues de diverses origines afin de favoriser au maximum les échanges et les découvertes.

L’animateur commence par raconter des contes africains, chinois, hindous, turcs, indiens et autres qui permettent d’aboutir à des sujets de discussions qui concernent tous, au-delà des divergences et différences. Par le biais des contes, les participants sont amenés à prendre la parole, s’exprimer et s’écouter mutuellement. La prise de parole n’est pas obligatoire mais l’écoute l’est!

Notre volonté est de favoriser les échanges entre citoyens issus de diverses origines et leur faire vivre l’expérience du dialogue et de l’amitié.

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Soirée culturelle anatolienne dans une ambiance authentique

Ce vendredi 15 février 2013, Beltud a organisé en partenariat avec Golden Rose une ‘Soirée culturelle anatolienne’ dans le but de présenter la culture anatolienne et de favoriser les échanges entre les personnes issues de diverses origines. Soirée dans une ambiance décontractée et très chaleureuse, accompagnée de musique traditionnelle et d’un riche buffet composé de délicieux mets, le tout dans une salle authentiquement décorée où nous avons accueilli une cinquantaine de convives belges pour la plupart, curieux d’en connaître davantage sur la culture turque. Dans son discours d’ouverture, Pascale Eyben, historienne de l’art et d’archéologie, a présenté brièvement l’histoire, la géographie, la culture et l’art de l’Anatolie. Puis nous avons enchaîné la soirée par la dégustation de plats traditionnels d’Anatolie . Au menu des mezzes (entrées froides), des feuilles de vignes farcies, du ‘içli köfte’ (kefta en croûte de boulgour), des ‘lahmacun’ (pizza turque) et des baklava. Sahin Utku, membre de Beltud, a fait une démonstration de prépration du ‘çig köfte’, plat traditionnel de l’Est de la Turquie préparée à base de viande crue et d’épices. Ensuite, nous avons voyagé au cœur de l’Anatolie avec la démonstration de l’instrument nommé ‘ saz ‘(luth à long manche d’une importance capitale dans la musicologie orientale). Ce mini concert nous a été présenté par Cumali Bulduk, artiste de saz, autodidacte et expérimental.
Les participants ont écouté avec grand intérêt les chansons de Cumali Bulduk, qui en expliquait le sens et l’histoire.
La soirée qui s’est déroulée dans la bonne humeur a été animée par des danses traditionnelles d’Anatolie.

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